Compositeur et organiste franco-belge (Liège 1822 - Paris 1890)
Poussé par l’ambition de son père d’en faire un pianiste virtuose à l’égal de Liszt, César Franck étudie au Conservatoire de Liège puis entre au Conservatoire de Paris. Il étudie avec Antoine Reicha, qui a été le professeur de Berlioz, Liszt et Gounod. À vingt ans, Franck a déjà de nombreux prix (solfège, piano, contrepoint, orgue. En 1874, il obtient le poste de professeur d’orgue au Conservatoire de Paris et compte Vincent d’Indy parmi ses élèves. À partir des années 1850 il mène de front la carrière de l’organiste et celle de compositeur : il compose surtout des œuvres de musique de chambre (quatuors à cordes, sonates) et des œuvres pour orgue ainsi que des œuvres religieuses (oratorios, messes, motets).
Figure phare de la musique romantique de la deuxième moitié du XIXème siècle en France, il a notamment insufflé une énergie nouvelle à la musique de chambre et à la tradition de l’orgue. Professeur d’orgue au Conservatoire de Paris à partir de 1872, il réunit ses élèves et les jeunes compositeurs dans la célèbre « bande à Franck » : d’Indy, Duparc, Chausson et les autres contribuent à faire sortir leur professeur de l’anonymat.
]]>Compositeur et organiste franco-belge (Liège 1822 - Paris 1890)
Poussé par l’ambition de son père d’en faire un pianiste virtuose à l’égal de Liszt, César Franck étudie au Conservatoire de Liège puis entre au Conservatoire de Paris. Il étudie avec Antoine Reicha, qui a été le professeur de Berlioz, Liszt et Gounod. À vingt ans, Franck a déjà de nombreux prix (solfège, piano, contrepoint, orgue. En 1874, il obtient le poste de professeur d’orgue au Conservatoire de Paris et compte Vincent d’Indy parmi ses élèves. À partir des années 1850 il mène de front la carrière de l’organiste et celle de compositeur : il compose surtout des œuvres de musique de chambre (quatuors à cordes, sonates) et des œuvres pour orgue ainsi que des œuvres religieuses (oratorios, messes, motets).
Figure phare de la musique romantique de la deuxième moitié du XIXème siècle en France, il a notamment insufflé une énergie nouvelle à la musique de chambre et à la tradition de l’orgue. Professeur d’orgue au Conservatoire de Paris à partir de 1872, il réunit ses élèves et les jeunes compositeurs dans la célèbre « bande à Franck » : d’Indy, Duparc, Chausson et les autres contribuent à faire sortir leur professeur de l’anonymat.
]]>Quelques places restent disponibles en classes à horaires aménagés danse et musique (CHAM / CHAD) 6ème.
Retour des dossiers de candidature avant le 25 mai à [email protected], à l’accueil du Conservatoire ou par voie postale (5, rue Franklin, 86000 Poitiers).
Ils sont organisés lundi 30 mai au Conservatoire-site centre-ville.
M. Forlacroix
Adjoint au Directeur et Responsable pédagogique
Conservatoire de Grand Poitiers / 5 rue Franklin 86 000 Poitiers
]]>Quelques places restent disponibles en classes à horaires aménagés danse et musique (CHAM / CHAD) 6ème.
Retour des dossiers de candidature avant le 25 mai à [email protected], à l’accueil du Conservatoire ou par voie postale (5, rue Franklin, 86000 Poitiers).
Ils sont organisés lundi 30 mai au Conservatoire-site centre-ville.
M. Forlacroix
Adjoint au Directeur et Responsable pédagogique
Conservatoire de Grand Poitiers / 5 rue Franklin 86 000 Poitiers
]]>Le film du célèbre réalisateur, raconté par Charles Berling, met en scène un dialogue entre création contemporaine et patrimoine à l’occasion de la manifestation culturelle Traversées organisée (du 12 octobre 2019 au 19 janvier 2020) à Poitiers dont l’artiste coréenne Kimsooja était l’invitée d’honneur.
L’œuvre de Kimsooja est entièrement conçue autour de la notion de tissage. Cette notion de lien évoquée par la métaphore du tissage constitue le fil rouge du film. Le récit se tisse à travers les notions de liens et de partage présentes dans la plupart des œuvres (la couture urbaine, le lien social, la solidarité, l’écologie, le métissage, l’apprentissage, etc.) et se construit dans une alternance entre des séquences « arts visuels » et « arts vivants » avec des installations, des performances, des chorégraphies ou des concerts.
Les artistes parlent de leur projet et dévoilent le processus d’installation de leurs œuvres. Les visiteurs sont les acteurs privilégiés du film à travers leur participation active. Le film s’attache à montrer combien le patrimoine de Poitiers ainsi que les œuvres proposées prennent vie lorsque les habitants et le public les visitent et les pratiquent, instaurant ainsi un lien au présent.
Bande annonce
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]]>Le film du célèbre réalisateur, raconté par Charles Berling, met en scène un dialogue entre création contemporaine et patrimoine à l’occasion de la manifestation culturelle Traversées organisée (du 12 octobre 2019 au 19 janvier 2020) à Poitiers dont l’artiste coréenne Kimsooja était l’invitée d’honneur.
L’œuvre de Kimsooja est entièrement conçue autour de la notion de tissage. Cette notion de lien évoquée par la métaphore du tissage constitue le fil rouge du film. Le récit se tisse à travers les notions de liens et de partage présentes dans la plupart des œuvres (la couture urbaine, le lien social, la solidarité, l’écologie, le métissage, l’apprentissage, etc.) et se construit dans une alternance entre des séquences « arts visuels » et « arts vivants » avec des installations, des performances, des chorégraphies ou des concerts.
Les artistes parlent de leur projet et dévoilent le processus d’installation de leurs œuvres. Les visiteurs sont les acteurs privilégiés du film à travers leur participation active. Le film s’attache à montrer combien le patrimoine de Poitiers ainsi que les œuvres proposées prennent vie lorsque les habitants et le public les visitent et les pratiquent, instaurant ainsi un lien au présent.
Bande annonce
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]]>Pour élaborer ce spectacle, la compagnie locale a animé 5 chantiers participatifs dans 5 communes de Grand Poitiers qui ont réuni 3 000 personnes.
Ce sont également 85 ambassadeurs qui ont fait vivre Traversées (bénévoles, activation d’œuvres) avant et pendant l’événement.
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]]>Pour élaborer ce spectacle, la compagnie locale a animé 5 chantiers participatifs dans 5 communes de Grand Poitiers qui ont réuni 3 000 personnes.
Ce sont également 85 ambassadeurs qui ont fait vivre Traversées (bénévoles, activation d’œuvres) avant et pendant l’événement.
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]]>Lectures à plusieurs voix de textes d’auteurs médiévaux ou d’essais d’historiens de l’art évoquant la pensée foisonnante et les œuvres du Moyen Âge.
Cet évément vous est proposé dans le cadre de la Nuit de la lecture, et souligne la clôture de l’exposition L’art médiéval est-il contemporain ? Acte IV.
Lectures à plusieurs voix de textes d’auteurs médiévaux ou d’essais d’historiens de l’art évoquant la pensée foisonnante et les œuvres du Moyen Âge.
Cet évément vous est proposé dans le cadre de la Nuit de la lecture, et souligne la clôture de l’exposition L’art médiéval est-il contemporain ? Acte IV.
En partenariat avec l’EESI.
Vernissage suivi dʼune performance sonore collective, sur proposition de l’artiste.
En partenariat avec l'EESI.
En partenariat avec l’EESI.
Vernissage suivi dʼune performance sonore collective, sur proposition de l’artiste.
En partenariat avec l'EESI.
Plus de détails sur l'oeuvre The Mending Project et sur la directrice artistique ici.
L'artiste sera présent pour couper les fils qui relis les vêtements à l'installation et rendre les vêtements reprisés, prêtés par des particuliers tout au long de ces trois mois, à leurs propriétaires.
Plus d'infos sur l'oeuvre The Mending Project et l'artiste Lee Mingwei ici.
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Plus de détails sur l'oeuvre The Mending Project et sur la directrice artistique ici.
L'artiste sera présent pour couper les fils qui relis les vêtements à l'installation et rendre les vêtements reprisés, prêtés par des particuliers tout au long de ces trois mois, à leurs propriétaires.
Plus d'infos sur l'oeuvre The Mending Project et l'artiste Lee Mingwei ici.
]]>Toute la journée, l'association La Cavale propose des improvisations dansées dans la salle Jeanne d'Arc de la Tour Maubergeon autour du thème: le paradoxe, source d'élévation, avec Vincent Curdy et Eric Fessenmeyer.
Toute la journée, l'association La Cavale propose des improvisations dansées dans la salle Jeanne d'Arc de la Tour Maubergeon autour du thème: le paradoxe, source d'élévation, avec Vincent Curdy et Eric Fessenmeyer.
Venez assister aux répétitions du grand spectacle de clôture de Traversées\Kimsooja !
Ce spectacle inédit de la cie L’Homme Debout sera joué le samedi 18 janvier à 19h30 dans les rues de Poitiers. Il mettra en scène Mo, le jeune géant que vous avez découvert lors du spectacle d’ouverture en octobre, et Lili, une « petite » nouvelle née des chantiers participatifs organisés pendant 3 mois dans plusieurs communes de Grand Poitiers.
]]>Venez assister aux répétitions du grand spectacle de clôture de Traversées\Kimsooja !
Ce spectacle inédit de la cie L’Homme Debout sera joué le samedi 18 janvier à 19h30 dans les rues de Poitiers. Il mettra en scène Mo, le jeune géant que vous avez découvert lors du spectacle d’ouverture en octobre, et Lili, une « petite » nouvelle née des chantiers participatifs organisés pendant 3 mois dans plusieurs communes de Grand Poitiers.
]]>La compagnie L'Homme debout met en scène Mo, accompagné du nouveau géant d'osier, Lili, fabriqué par les poitevins lors de chantiers participatifs organisée dans Grand Poitiers pendant ces trois derniers mois.
Soyez attentif ! Durant toute la toute journée du samedi, vous pourrez croiser Mo et Lili au détour d'une rue du centre ville ! Ne manquez pas ces rendez-vous:
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La compagnie L'Homme debout met en scène Mo, accompagné du nouveau géant d'osier, Lili, fabriqué par les poitevins lors de chantiers participatifs organisée dans Grand Poitiers pendant ces trois derniers mois.
Soyez attentif ! Durant toute la toute journée du samedi, vous pourrez croiser Mo et Lili au détour d'une rue du centre ville ! Ne manquez pas ces rendez-vous:
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C’est une des œuvres phares de Traversées / Kimsooja. Elle a été incendiée volontairement dans la nuit de samedi 21 à dimanche 22 décembre 2019. Au-delà de la tristesse qui m’anime, il y a l’incompréhension. Une œuvre d’art est l’expression libre d’un créateur. Elle n’a pas pour ambition de changer le monde ni en résoudre les problèmes : c’est un point de vue, subjectif, sensible, qui peut nous interroger sur notre société. Si l’artiste est libre dans son acte de création, le spectateur est tout autant libre de penser ce qu’il veut. Il est d’ailleurs sain qu’une œuvre d’art suscite des émotions, des opinions et des réactions.
Mais détruire une œuvre d’art, c’est empêcher, supprimer toute possibilité de réfléchir, d’échanger ou de débattre.
Dans la perspective du Baptistère Saint-Jean, l’œuvre d’Achilleas Souras est bien à sa place, en écho à l’édifice du 5e siècle qui célébrait naissances et baptêmes. Cet abri de fortune, gigantesque igloo multicolore, est fait de gilets de sauvetage, ramassés par le jeune artiste grec sur les plages de l’île de Lesbos au plus fort de la crise des migrants. Tout un symbole. Etre né ici ou ailleurs n’amène pas au même destin, à la même vie.
Mes pensées vont à l’artiste, aux Poitevins, à tous les citoyens qui sont, je le sais, indignés. Poitiers est tout le contraire de cet acte odieux et scandaleux : une ville de débats et d’ouverture.
Par une décision entre la Ville et l’artiste, l’œuvre sera exposée en l’état jusqu’à la fin de Traversées / Kimsooja, avec une explication de sa dégradation. Parce que l’art doit continuer à être libre et pouvoir toucher le plus grand nombre.
Alain CLAEYS
Maire de Poitiers et Président de Grand Poitiers
C’est une des œuvres phares de Traversées / Kimsooja. Elle a été incendiée volontairement dans la nuit de samedi 21 à dimanche 22 décembre 2019. Au-delà de la tristesse qui m’anime, il y a l’incompréhension. Une œuvre d’art est l’expression libre d’un créateur. Elle n’a pas pour ambition de changer le monde ni en résoudre les problèmes : c’est un point de vue, subjectif, sensible, qui peut nous interroger sur notre société. Si l’artiste est libre dans son acte de création, le spectateur est tout autant libre de penser ce qu’il veut. Il est d’ailleurs sain qu’une œuvre d’art suscite des émotions, des opinions et des réactions.
Mais détruire une œuvre d’art, c’est empêcher, supprimer toute possibilité de réfléchir, d’échanger ou de débattre.
Dans la perspective du Baptistère Saint-Jean, l’œuvre d’Achilleas Souras est bien à sa place, en écho à l’édifice du 5e siècle qui célébrait naissances et baptêmes. Cet abri de fortune, gigantesque igloo multicolore, est fait de gilets de sauvetage, ramassés par le jeune artiste grec sur les plages de l’île de Lesbos au plus fort de la crise des migrants. Tout un symbole. Etre né ici ou ailleurs n’amène pas au même destin, à la même vie.
Mes pensées vont à l’artiste, aux Poitevins, à tous les citoyens qui sont, je le sais, indignés. Poitiers est tout le contraire de cet acte odieux et scandaleux : une ville de débats et d’ouverture.
Par une décision entre la Ville et l’artiste, l’œuvre sera exposée en l’état jusqu’à la fin de Traversées / Kimsooja, avec une explication de sa dégradation. Parce que l’art doit continuer à être libre et pouvoir toucher le plus grand nombre.
Alain CLAEYS
Maire de Poitiers et Président de Grand Poitiers